Nombre total de pages vues

lundi 17 décembre 2007

Marrakech, le musée

Où dormir à Marrakech?

Crée en 1995 par la fondation Omar Benjelloun et installé dans l’un des plus beaux palais de la ville (construit à la fin de XIX ème siècle).
Musée unique en son genre, qui regroupe des collections de pièces de monnaie, parures des différentes régions, portes anciennes et poutres berbères, bijoux, céramiques et manuscrits arabes. Organise également des expositions tournantes d’artistes nationaux et étrangers : peintres, photographes et sculpteurs…

mardi 4 décembre 2007

Oukaïmeden, les gravures rupestres










    Où dormir à Marrakech?

L'Oukaïmeden est l'un des sites majeurs de gravures rupestres du Haut Atlas.
L'étude de ces gravures est d'une importance considérable, en effet, les œuvres figurées sont très diversifiées : les formes géométriques, les anthropomorphes, les armes, les chars, les scènes de chasse, les représentations fauniques….
Les connaissances concernant la datation de ces gravures sont encore fragmentaires. Néanmoins, quelques représentations d'armes métalliques ont été rattachées à l'âge du bronze. On cite notamment les poignards en bronze du haut atlas (Oukaïmeden).
L'Oukaïmeden est l'un des sites majeurs de gravures rupestres du Haut Atlas.
Ce patrimoine du Maroc, n’est pas toujours facile à découvrir du fait des difficultés d'accès de la plupart des sites. L'Oukaïmeden est de ce fait privilégié, son accès par la route autorise une découverte facile de ces témoignages d'un passé lointain.
C'est un but de promenade agréable et la recherche des gravures devient rapidement un jeu de découverte passionnant.

mardi 27 novembre 2007

Marrakech, la Mosquée Ben Youssef

TERREMAROC

Situé au Cœur de la Médina à coté de la Médersa Ben Youssef et du Musée de Marrakech...
Bâtie par les Almoravides, puis rasée et reconstruite par les Almohades, cette mosquée est dédiée à Sidi Youssef Ben Ali, ce saint patron de Marrakech atteint de la lèpre et qui mena une vie d’ascète parmi ses compagnons mendiants.
Elle fut le point central autour duquel se forma la médina de Marrakech au XII ème siècle.
Restaurée à deux reprises, au XVI ème siècle, puis à la fin du XIX ème siècle, il ne reste cependant plus grand-chose de l’architecture almohade…

lundi 26 novembre 2007

Marrakech, la Mosquée de la Koutoubia










C’est le monument le plus célèbre de Marrakech et peut être même du Maroc, qui constitue une des merveilles de l’art et de l’architecture en Islam…
Erigée par les Almohades à la fin du XII ème siècle (1157), sur le site d’une mosquée Almoravide construite au siècle précédent, c’est un véritable chef-d’œuvre de l’art hispano-mauresque, qui fait l’orgueil de Marrakech depuis huit siècles. Son nom (koutoub signifie « livres » en arabe) est la seule trace du marché aux livres qui se tenait ici à l’époque.
Son minaret, aux proportions parfaites, s’élève à une hauteur de 77 m. Il est d’une beauté saisissante (il suscita toutes les jalousies
des sultans du Maghreb). Surmonté par un lanternon de 16m pourvu d’un dôme, qui supporte une flèche coiffée de quatre boules de cuivre.
De récents travaux de réfection de la façade extérieure et du minaret ont été effectués, de 1995 à 1998.

mardi 20 novembre 2007

Marrakech, le quartier du Mellah

Quartier de la médina de Marrakech où la population juive se rassembla dés 1558, sur ordre du sultan Saadien Moulay Abdallah, mais que la plupart des habitants quittèrent par la suite pour les autres villes du Maroc
Toutefois, il y demeure encore une importante communauté juive autour des nombreuses synagogues construites dans cette partie de la ville.
Trois souks couverts s’y tiennent quotidiennement : souk aux épices, souk aux vêtements et tissus et souk aux bijoux (l’un des plus célèbres de Marrakech)

jeudi 15 novembre 2007

La faune du Parc National du Toubkal









Au cœur du Haut Atlas, et entre la vallée de N’fiss à l’Ouest, et la vallée de l’Ourika à l’Est se positionne le massif montagneux le plus élevé de l’Afrique du Nord. Le Parc National du Toubkal présente un relief varié s’étageant de 1200 à 4167 mètre d’altitude avec des plateaux, des falaises, un lac, des gorge encaissées, des crêtes et des cours d’eau.
Le mouflon à manchette constitue pour les amateurs de la faune sauvage l’espèce noble de ce Parc. Mais des espèces rares comme le chat sauvage, le porc-épic, la genette, la mangouste et d’autres espèces des belles forêts de chêne vert sont aussi présentes.
Pour les grands rapaces, on note la présence d'espèces remarquables comme le gypaète, l’aigle royal, l’aigle de bonelli, l’aigle botté, le circaète , le faucon pèlerin, le hibou...
30 espèces des reptiles dont certaines sont très rares
comme la couleuvre de schokar, la vipère de l’Atlas, le lézard d’Andreanszky, le gecko à paupières épineuses...

vendredi 26 octobre 2007

Casino Es Sâadi – Marrakech

Situé à 50 mètres de l’hôtel Es Sâadi, le casino de Marrakech est le plus ancien établissement de jeux autorisé au Maroc. Sa création remonte à 1952 par Jean Bouchet, propriétaire du Moulin Rouge de Paris. L’Etat lui avait accordé le monopole pour une durée de 75 ans, mais ce privilège tomba à l’eau après l’indépendance.
A coté de la salle de jeux, récemment rénovée, un restaurant marocain propose des dîners spectacles. Le casino de Marrakech reste toujours la propriété de la famille Bouchet.

mardi 18 septembre 2007

Marrakech, le festival International du Film

Comme toutes les naissances, dans le monde peu amène du cinéma, la création du Festival International du Film de Marrakech avait suscité beaucoup d’interrogations et vu fuser les critiques. Avec le temps, la succession des éditions de cette manifestation prouve le bien-fondé de cette démarche audacieuse.
Le festival international de Marrakech est devenue une grande manifestation cinématographique capable de rivaliser avec les grands existant dans le monde du 7ème art, mais la ville de Marrakech a dés le départ affiché la couleur en donnant au festival de Marrakech une identité qui est celle de "l'ouverture et de la modernité".
Né en 2000, Cet événement solennel permet, au delà de son impact substantiel sur les plans économique et touristique, la création non seulement d'une plate-forme de
rencontres, d'échanges et de dialogue mais également une promesse de collaboration entre ceux qui font et aiment le 7ème art.
Le festival est organisé par la Fondation du festival international du film de Marrakech et présidé par SAR le Prince Moulay Rachid.

vendredi 14 septembre 2007

Marrakech, la Koubba Almoravide


La Koubba Almoravide est l'unique témoin architectural de l’époque Almoravide...
Situé au cœur de la médina de Marrakech à coté de la mosquée Ben Youssef, La Koubba était jusqu’en 1948 ensevelit, et c’est à la suite de fouilles archéologiques qu’elle a été découverte.
La Koubba Almoravide qui dépendait d’une mosquée proche était destiné aux ablutions. Ce monument se présente sous forme d’une somptueuse coupole édifiée au dessus d’un bassin rectangulaire que ceinturent les vestiges de petites cellules qui faisaient office de latrines.

jeudi 6 septembre 2007

Marrakech, Le Jardin de l’Agdal

Où dormir à Marrakech?

Le Jardin de l’Agdal , long de 3 km et large de 1,5 km, et planté d’arbres fruitiers et d’oliviers, fut aménagé au XIX ème siècle. Il est entouré d’un mur d’enceinte renforcé de tours et percé de quelques portes.
D’origine berbère, le terme « agdal » définit un pré entouré d’un mur sur les rives d’un oued. Il fut utilisé, dés l’époque des Almohades, pour désigner les jardins royaux construits près des palais : un espace géométriquement divisé en parcelles plantées d’arbres fruitiers et entouré d’un rempart. Les Almohades diffusèrent ce modèle dans tout l’occident musulman, donnant naissance aux somptueux jardins andalous.

mercredi 5 septembre 2007

Marrakech, la Zaouia de Sidi Bel Abes

L’un des sept saints de Marrakech, Sidi Abou el-Abbas es Sebti, le plus vénéré des patrons de la ville, repose dans ce mausolée édifié en 1605 par le sultan Saadien Abu Fares (et restauré dans la seconde moitié du XVIII ème siècle).
Particulièrement fréquentée par des paysans, des commerçants et des aveugles. Des offrandes en nature ou en espèces sont offertes au saint homme le mercredi (jour qui lui est consacré).
La décoration de sa monumentale fontaine (superbement restaurée) ainsi que la calligraphie qui court le long de l’auvent en font l’un des joyaux de Marrakech.

mardi 26 juin 2007

Ouirgane, histoire de Tinmel

Tinmel constitue un des sites majeurs de l’histoire médiévale du Maroc.
C’est de cette petite bourgade berbère de la Vallée du Neffis, que sont partis les conquérants Almohades, conduits par leur guide spirituel Mahdi ibn Toumert puis par Abd al-Moumen Ibn Ali, pour former le plus grand empire que la Méditerranée occidentale ait connu depuis celui de Rome.


Cette ascension politique permit à Tinmel de devenir en cette seconde moitié du XIIèmes la véritable capitale spirituelle de l’empire et aussi la construction de la grande mosquée, d’une résidence royale qui abritait les souverains Almohades durant leurs traditionnelles visites pieuses au mausolée du vénéré Mahdi Ibn Toumert.


La chevauchée dura près de vingt ans et finit par la chute de la dynastie Almoravide et la prise de leur capitale Marrakech en 1147 J.C.
Après le déclin de la dynastie, Tinmel redevenait ce qu’elle fut avant cette épopée : une simple bourgade au milieu du Haut Atlas.

Les cascades d' Ouzoud




Situées à 150 km au nord-est de Marrakech, ces étonnantes chutes d’eau de 110 m de hauteur sont classées parmi les plus beaux sites du Maroc et constituent l’une des attractions naturelles les plus remarquables de l’Atlas marocain.
L’oued Ouzoud (« ouzoud » signifiant ‘olive’ en langue berbère, référence aux oliveraies de la région) se précipite au fond d’un gouffre verdoyant, pour rejoindre le canyon de l’oued el Abid, à 2 km de là.
L’irrigation permet de nombreuses cultures, en particulier de splendides oliveraies.
Une promenade intéressante (pouvant durer de 2 à 4 h) consiste à descendre en aller-retour l’oued en aval des cascades, par une succession de bassins bordés de roseaux, où vous pourrez surprendre des martins-pêcheurs et de petites chutes d’eau.

Au-delà des cascades, une piste (21 km) pour l’oued Abid, aux gorges si profondes (de 400 à 600 m) qu’on n’en voit pas le fond. La piste descend en lacets jusqu’à l’amont des gorges, traverse l’oued et continue dans un bassin cultivé, à travers un paysage d’oliveraies.

mardi 29 mai 2007

Marrakech, La Ménara


Un élégant pavillon aux tuiles vertes se reflétant dans l’eau d’un immense bassin, avec en arrière-plan, les montagnes de l’Atlas : l’une des images symboles de Marrakech.



Le grand bassin central fut creusé au XIIème siècle par les Almohades : il était destiné à stocker l’eau de pluie ainsi que celle en provenance des montagnes proches (drainée grâce au système des « khettaras »). Ses jardins, une immense oliveraie ceinte d’un mur de pisé, s’étendent sur une centaine d’hectares.
Le pavillon, d’origine Saadienne, fut construit vers 1866 sous le règne du sultan Sidi Mohamed ben Abdallah.

mercredi 23 mai 2007

Marrakech, Le Palais El Badia

Ce grand palais édifié par le sultan saadien Ahmed al Mansour (1578-1603) pour commémorer sa victoire sur l’armée portugaise de 1578…
Le Palais Badia était destiné aux fêtes et aux audiences solennelles pendants les quelles le souverain pouvait montrer son faste, d’où son nom, Badia signifiant « l’Incomparable ».
Pour sa construction et sa décoration, des ouvriers étaient venus de tout le Maghreb et même d’Europe. Marbres d’Italie, onyx de toutes les couleurs, mosaïques, stucs, revêtements de feuille d’or décoraient murs et plafonds…et ceci dans 360 salles !!!
Mais, un siècle plus tard, le sultan Alaouite Moulay
Rachid, prit d’assaut Marrakech et… fit détruire le palais El-Badia ; son successeur, Moulay Ismail, entreprit de raser ce qui en restait, en détournant au passage les ors et les marbres qu’il fit transporter à Mekhnès, pour décorer son nouveau palais…
Il n’en reste aujourd’hui que le mur d’enceinte de la grande cour intérieure, transformée en orangeraie, où viennent se poser les cigognes et où se déroule chaque année le Festival National des Arts Populaires…

jeudi 10 mai 2007

Marrakech, Le Jardin Majorelle


Où dormir à Marrakech ?

Le Jardin Majorelle fut crée dans les années 1920 par le peintre Jacques Majorelle, invité par le maréchal Lyautey en 1917 et si enthousiasmé par ce pays qu’il se fixa définitivement à Marrakech en 1922…
Cet ensemble remarquable fut ensuite restauré par le couturier Yves Saint Laurent au début des années 1960.
De multiples variétés de plantes s’y épanouissent : cyprès, palmiers, oliviers, fleurs aux couleurs éclatantes, bananiers, citronniers, lauriers, cactus, agaves,…
On peut visiter l’atelier du peintre aux murs peints d’un bleu vif (où sont exposées quelques unes de ses œuvres), transformé en musée d’art et d’artisanat islamique.

mercredi 18 avril 2007

Hebergements à Marrakech




David vous reçoit avec simplicité et chaleur dans ce riad au charme berbère : 15 chambres, 3 patios fleuris, Bassin/Jacuzzi, Hammam, Salle de massage et Terrasse-Solarium avec vue sur la Koutoubia. Un petit coin de paradis à 2 pas de la place Jemaâ El Fna.








TerreMaroc.com louez nos hébergements à Marrakech

Vous trouverez toutes les informations nécessaires d’hébergement pour votre séjour à Marrakech (hôtel, Riad, chambres d'hôtes, villa….)